LeBron James : les secrets nutritionnels derrière sa longévité exceptionnelle

on pour la ville de Clev

LeBron James vient de conclure sa 22ème saison en NBA avec des statistiques impressionnantes : 24,4 points, 7,8 rebonds et 8,2 passes décisives en moyenne par match. Une performance qui lui a valu d’être sélectionné dans la All-NBA Second Team, prouvant qu’à 40 ans, il reste l’un des meilleurs joueurs de la ligue.

Cette longévité exceptionnelle interroge. Comment le quadruple champion NBA parvient-il à maintenir un tel niveau après plus de deux décennies en professionnel ? La réponse se trouve en partie dans ses habitudes alimentaires strictes, qu’il a récemment dévoilées sur le podcast Mind the Game.

LeBron James : les secrets nutritionnels derrière sa longévité exceptionnelle

Une discipline nutritionnelle millimétrée

Au micro de Steve Nash, LeBron James a expliqué sa routine alimentaire les jours d’entraînement : « Je prends soit un jus vert, soit des fruits, mais je ne mange pas de vrai repas avant d’être rentré chez moi après l’entraînement. Mon premier repas est généralement vers 13h30 ou 14h. »

Cette approche n’est pas le fruit du hasard. Le joueur des Lakers a précisé qu’il évite tout supplément artificiel : « Pas de créatine, non. Juste des vitamines naturelles, ce genre de choses… Après l’entraînement, je prends parfois un smoothie aux fruits ou des overnight oats pour reconstituer mes réserves d’énergie. »

Une longévité sans précédent

Ces habitudes, combinées à un programme d’entraînement rigoureux, expliquent en partie pourquoi LeBron continue de dominer là où d’autres ont décliné. À titre de comparaison, Vince Carter, le seul autre joueur à avoir disputé 22 saisons en NBA, affichait des moyennes bien plus modestes (5 points par match) lors de sa dernière année.

Aujourd’hui, personne n’oserait parier contre une 23ème saison au haut niveau pour LeBron. Alors que la plupart des joueurs sont retraités depuis longtemps à son âge, lui semble encore avoir du carburant dans le réservoir. Une preuve supplémentaire, s’il en fallait, que « King James » réécrit les règles de la longévité sportive.

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